I say, You say - Diciembre 2015

La première impression

La première impression

Je suis arrivée à Bogotá le 29 juillet, après onze heures de vol depuis Paris. Nous étions plusieurs assistants de français dans le même avion, mais personne ne se connaissait. A l’arrivée, la première chose qui nous a interpellés, c’est la circulation. Le trajet de l’aéroport à l’hotel a été très long. Beaucoup de voitures, de bus, beaucoup de coups de klaxon, Bogotá nous a paru être une ville bruyante et assez désordonnée, mais très active. La deuxième chose qui nous a marqué est le climat: le ciel change de couleur très rapidement, en une heure il peut faire un temps magnifique et ensoleillé, puis changer du tout au tout en quelques minutes: pluie, vent, froid. Cela donne un aspect assez irréel à la ville, avec des éclairages fascinants. Dès les premiers instants nous étions ravis de retrouver l’Amérique Latine et sa musique, ses vendeurs ambulants, ses habitants toujours dans la rue, ses odeurs de nourriture (bien qu’un peu camouflées par la pollution ici!), et son ambiance si particulière.

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Bogota est une ville tellement grande qu’il est difficile de se repérer. Heureusement que la montagne est là pour nous orienter: à chaque fois qu’on se perd, il suffit de lever les yeux vers la montagne, et on sait ou se trouve l’est, le nord, le sud… Les premiers jours on se déplaçait toujours en groupe, de peur de nous perdre, mais on s’est vite rendus compte que les gens dans la rue sont là, pour demander notre chemin, ravis de nous guider et de nous accueillir dans leur pays.

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Dès le deuxième jours en Colombie nous avons eu une réunion à l’ambassade de France, où l’on nous a expliqué comment allait se dérouler notre séjour, et également donné plusieurs recommandations. C’est sur que la Colombie, et Bogotá en particulier, n’a pas très bonne réputation en matière de sécurité. Mais en faisant preuve de bon sens, et d’attention, avec l’aide des conseils de colombiens, tout se passe pour le mieux.

Après quelques jours de découverte et d’acclimatation, passé le décalage horaire, et le mal d’altitude, nous avons vite découvert nos universités d’accueil, et commencé à travailler, chacun à un rythme différent. Après plusieurs semaines, nous visitons petit à petit Bogotá, la Candelaria, Monserrat, le parc Simon Bolivar, les zones pleines de restaurants et de bars pour sortir… ainsi que d’autres endroits de Colombie lorsqu’on a le temps, en espérant pouvoir découvrir le maximum de ce pays magnifique !

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Autora

Adélie
Assistante étrangère au Poli
(Asistente Extranjera del Politécnico Grancolombiano )

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